28-04-2003 On savait que la
SACEM était
un sacré vampire et qu'elle n'œuvrait que pour les gros de la
variété, tous poulains des majors (
Johnny, Goldmann,
Céline Dion, Obispo, j'en passe et des meilleurs - pas dur
d'être meilleur, tu me diras!), ce qu'on sait moins, c'est qu'elle
se targue de goûter l'Art à ses heures perdues ("
Je
goooûte l'Aaaart, quoooâââ..."). En effet,
plutôt que de reverser le flouze qu'elle rackette deci delà
chez les tout-petits et les bistrotiers, elle préfère le placer
dans des
œuvres artistiques, de préférence contemporaines
pour ne pas paraître trop philistine. Ça, c'est de l'investissement,
ça c'est du placement financier qu'il est bon ! Voilà ce qu'il
fallait comprendre, la SACEM aide les artistes mais seulement... dans les
arts plastiques, surtout pas dans la musique !